ôde à l'art de la guerre selon Pierrafeu

Un guerrier toujours sur le fil du rasoir,
Qui traverse les épreuves sans jamais perdre espoir,
Dans le vent, dans la tempète dans le froid,
Il ne relachera jamais l’étrainte sur sa proie.


Né en ce bas monde pour servir son prince,
Rien ne l’évince.
Machine à tuer,
Ou chevalier toujours prêt à aider,
A vous de voir en moi qui je suis,
Mais je ne changerais à aucun prix.


Je n’ai de cesse de chasser l’ennemi,
De leur chercher des ennuis,
Je vie avec mon épée jour et nuit,
D’envie de combat je suis rempli.


Souvent blessé, écrasé, prêt à crever,
Souvent battu, meme une foi tomber,
Je ne peux pas m’empècher de me relever,
Et avec un sourire je reviendrais vous tuer.


Un regard fixer sur l’avenir,
Un mental inflexible,
Peut m’importe de mourir,
Si c’est pour une cause à laquelle je suis sensible.


Ma première arme un sourire,
Ma deuxième arme ma joie de vivre,
Ma troisième arme mon épée,
Si je n’ai plus d’arme peu importe je finirais bien par te
tuer.


J’essaye d’éviter les coups,
Et visiblement ça ne marche pas à tous les coups,
Pour etre un bon assassin il faut savoir saigner,
Et la mort tu devra affronter.


N’ai aucune peur,
Tu n’as rien à perdre,
Bat toi jusqu'à la mort,
Et encore plus si tu peux encore.


Ennemi fait attention à toi si tu sort,
Je t’aurais prévenu que tu finirai mort,
Je serai derrière chacun de tes pas,
Une ombre que tu ne soupeçonnera meme pas.
Mon souffle suivra le tien,
Mes pas emboiterons les tiens,
Mes yeux suivront tes mouvements,
Mon épée frappera juste au bon moment.


Une flèche qui viens sifflant à toute allure sur ma gauche,
Une puissante nova qui arrive de la droite,
J’évite une boule de feu de manière adroite,
C’est finalement mon épée qui découpe mes trois adversaires
en tranche.


Un cri de rage redonnant des forces insoupçonnées,
L’adrénaline de l’aventure m’enivre tel un surhomme,
A un contre deux la est mon combat préféré,
Approchez rouge et verts que je vous dégomme.


Un coup de couteau mon sang ne fait qu’un tour,
Serai ce ma fin, serai ce mon tour ?
Mes pensées se troubles et mes yeux se voilent,
Serai ce ça la mort qui enfin se dévoile ?


Surprise, le reflexe du survivant,
Un geste exécuter à la perfection,
Un ennemi teracé puis le suivant,
La mort a décidé que ce n’était pas l’heure de ma rémission.


Quand je repense à mes amis je sourri,
Meme au cœur de la bataille le cervau ailleur,
Je sais quelque part dans mon cœur
Que je me bat pour eux aussi.